Allion à Versailles était le fournisseur de l'aviation militaire
ALLION Étienne Jacques est né le 27 septembre 1871 à Fumel (Lot-et-Garonne). Habitant 4 rue du Maréchal Foch, Versailles (Seine-et-Oise, aujourd'hui Yvelines).
Bijoutier et horloger Président du Syndicat des bijoutiers et horlogers de l'Île-de-Island
France et de nombreux organismes liés à ce métier, conseiller à Versailles.
Promoteur d'un système de signalisation destiné, sur le champ de bataille, à éviter toute confusion de signaux entre artillerie et infanterie et d'un système de sécurité adoptée par les services des Beaux-Arts pour la protection des musées.
A partir de février 1915,
HF1 est affecté au 33ème Corps d'Armée. Il y restera jusqu'à la fin de la guerre. La 33e AC Il est composé, depuis le 25 février 1915,
par les 70e et 77e divisions d'infanterie (D.I.) et par la 84e division territoriale (D.T.). Passé par Maurice Farman MF11 à partir de février 1915, du nom
de MF1.
Le premier insigne sera un simple chiffre « 1 » placé sur un bouclier ailé. Cependant, la date exacte de son adoption n'est pas connue. A partir du 25 février
Au 9 mai 1915, lors de la première bataille d'Artois, les pilotes de l'Uno effectuent des missions de reconnaissance et de réglage de l'artillerie.
dans les secteurs de l'Ecurie et de Targette.
Les trois missions principales des escadrons de reconnaissance à partir de mars 1915 :
missions de reconnaissance photographique pour cartographier les réseaux de tranchées ennemis ;
des missions de reconnaissance qui permettent à l'artillerie de tirer sur des cibles invisibles depuis la position de tir, via une liaison radio en Code Morse dans le sens air-sol ; missions pour communiquer avec l'infanterie pendant l'offensive en survolant le champ de bataille.
La méthode de communication consistait à envoyer des messages depuis l'avion.
Le MF1 est la première escadrille de l'Armée de l'Air citée par arrêté de l'Armée du 31 mars 1915.
Voici le texte : « Depuis plus de trois mois, sous l'impulsion de son patron,
Le capitaine Camille Fuzier, a travaillé avec une audace et un zèle absolument remarquables,
ne se laissant arrêter, ni par l'état de l'atmosphère, ni par les tirs ennemis... Elle fournissait des photographies ou des rapports précis, des données aussi complètes que précieuses,
ce qui nous a permis de connaître tout le travail de l'ennemi, de régler les tirs d'artillerie,
sur ces œuvres et enfin les détruire."
De son côté, la compagnie aérienne comptait huit sociétés qui ont construit huit ports de support pour dirigeables et quatre sociétés spatiales pour quinze ans.
dirigeables. Son adversaire dans le ciel de France et de Belgique sera la Luftstreitkräfte, l'armée de l'air de l'Empire allemand.
Le 26 mai 1915, les 18 avions du groupe de bombardement GB 1 effectuèrent le 1er bombardement stratégique auquel participa le capitaine Pierra.
Le commandant Barès souhaitait que les officiers de son service évoluent en escadrille, lorsque leur mission le permettait,
pour mieux comprendre les difficultés de la vie quotidienne dans les unités.
Nommé directeur de l'armée de l'air au ministère de la Guerre le 10 octobre 1914, le général Hirschauer achève le programme d'augmentation
du nombre d'escadrons en réduisant le nombre de types d'avions en service : Morane-
Saulnier Parasol et Farman Biplan pour la reconnaissance,
Caudron G.III pour l'observation et la régulation de l'artillerie, Biplan Neighbor III pour le bombardement.
Du 9 au 25 mai 1915, il participe à l'offensive française dans la région de Targette, à Ablain-Saint-Nazaire, lors de la Seconde bataille de l'Artois.
Le 9 mai attaque sur la côte 140 en direction de Carency et Souchez avec prise de la première ligne ennemie. Carency tombe le 12. Les équipages du MF 1 assurent
Commandez des informations précieuses sur les forces adverses et découvrez plusieurs batteries d'artillerie grâce à leurs vols à basse altitude.
En juin 1915,
le MF 1 avait un équipage de dix Maurice Farman MF 11 et MF 11bis.
Du 25 septembre 1915 au 25 février 1916, toujours en Artois, le MF 1 participe à l'attaque de ce front et plus précisément à la reconquête de
village de Souchez par le 33ème CA, son unité biologique.
Depuis octobre 1915,
les avions Maurice Farman MF 11 et MF 11 bis étant très lents et vulnérables aux tirs ennemis, les équipages de l'escadron
ils ont choisi un escargot ailé comme nouvel insigne. Cet emblème a été conçu par le Sergent Henri Barot, illustrateur et interprète photographique.
Avant la guerre, il était bijoutier à Paris.
Les ailes et la carapace de l'animal prennent des couleurs différentes selon les pilotes.
Elle prend le nom d'escadrille de F1 passant par les Farman F40 et F42 fin 1915.
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